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ÉPHÉMÈRE
ÉPHÉMÈRE
Que jamais ce beau rêve
En son écrin vermeil
Promptement ne s'achève
Octroyant une trêve
À tes sens en éveil
Elle allait sur la grève
Ses longs cheveux au vent
Sur sa parure d'Eve
Frôlant caresse brève
Son beau corps émouvant
L'océan indomptable
À ses pieds en mourant
Effaçait sur le sable
Le songe vulnérable
De ton cœur conquérant.
D. Kirchner
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